Série Insolite. Épisode 21 « Sarah » : Baisée En Pleine Séance De Cinéma. Partie 12/13
En un an et demi, javais connu dinnombrables partenaires, pour la plupart des parfaits inconnus. Souvent je me retrouvais nue, les yeux bandés au milieu du salon où un matelas remplaçait le grand tapis en laine, pour vivre des trios que jappréciais de plus en plus. Ces petites parties toujours organisées par Gédéon étaient filmées. Ces types choisis par mon amant venaient uniquement pour me baiser. Je ne me posais plus de question, jadorais ça et je savais que cétait pour mon plaisir et celui de William. Cela se déroulait souvent de la même manière, un des hommes se plaquait derrière-moi en posant ses mains sur mes hanches pendant quun autre prenait mes deux seins et que le troisième frottait son sexe contre ma bouche en disant des choses telles : « Putain ! Elle est bonne cette salope. » ou « Quel cul elle a, cette pute. » ou encore « Ouvre la bouche sale chienne et suce-moi. »
Je navais pas envie de refuser quoi que ce soit à Gédéon, je devais accepter ce que me faisaient vivre ces types. William désirait moffrir à trois inconnus sans men parler au préalable. Une heure après, je ne me rappelais plus de leurs prénoms, il sagissait souvent dhommes dâge mûr, voire bien avancé. Je devais faire un effort car je ne désirais pas décevoir mon homme. Je ne me forçais plus, après quun type menfilait un doigt puis deux, voire quelques fois trois, je jouissais en arrosant le trio, jétais déjà conquise et ne pensais plus à rien, quà mon plaisir.
En principe les inconnus faisaient une tournante, ils échangeaient leur poste régulièrement, tout en étant de plus en plus brutaux avec moi, ils ne me laissaient pas récupérer de mes jouissances. Jétais épuisée, je passais plus dune heure à me faire baiser comme une chienne et jaimais ça. Tout était filmé et William recevait les images en direct dans la chambre dà côté. Lorsque Gédéon menlevait le bandeau, Je reconnaissais quelques fois des amis de mon mari que javais déjà rencontré, des hommes de soixante-dix ans.
Le plus drôle, cétait lorsque la porte du salon souvrait sur mon futur mari, sa queue en érection à la main. William prenait possession de ma bouche, pendant que les trois septuagénaires et Gédéon venaient autour de moi pour se branler et menvoyer tour à tour leur sperme sur le visage et sur ma poitrine. Jétais humiliée, du sperme sur les yeux, je me sentais souillée par ce foutre sur ma peau. Malgré cela, jappréciais et jétais fière davoir satisfait une nouvelle fois William qui était heureux de mes performances.
Ces expériences et celle des agents de sécurité, lui démontrait que jétais prête à tout pour son propre plaisir et le mien par la même occasion.
Quelques fois, le mercredi après-midi, il me laissait les yeux bandés dans la salle de réunion. Jétais aux prises avec quatre partenaires inconnus, pendant une heure et demi. Lorsque Gédéon me libérait les yeux, je voyais ces types âgés très satisfaits. Je fus baisée sans retenu, devant la caméra, comme une vraie pute par des vieux qui sen étaient donnés à cur joie, en mhumiliant et en minsultant mais jappréciais de voir le regard enchanté des types qui éjaculaient sur moi. Même si dans ces parties de laprès-midi, je ne jouissais pas énormément, je jubilais, rien quà lidée de savoir que le soir venu, javais ma récompense. Gédéon ne manquait jamais de me faire vivre une soirée mémorable et de voir William se branler devant nous, cela augmentait la puissance de mes orgasmes.
Pendant les six derniers mois, jétais devenue une pute pour vieux. En effet, tous les hommes que choisissait pour moi Gédéon, étaient en principe que des septuagénaires qui ne prenaient plus de plaisir avec leurs épouses. Dautre part, aucun dentre eux navait un pénis de plus de quinze centimètres et encore, ils étaient peu nombreux, la moyenne tournait plus autour de treize. Javais compris que cétait le moyen de me garder sous son emprise, il savait que jétais accroc à son beau phallus, je ne devais pas mhabi à celle dun autre, même si quelques fois je retrouvais dans nos parties de sexe, certains vieux mayant déjà baisée.
Je nen revenais pas moi-même, jétais parvenue à me transformer, jétais devenue une vraie chienne en chaleur, javais tout le temps envie de sexe, jen voulais toujours plus, les trois soirs que venait passer Gédéon à la maison et les parties de sexe une fois par semaine avec tous ces vieux ne suffisaient plus, je ne pensais quà me faire baiser sans retenu et recevoir ma récompense. Jétais accroc de sexe et je ne vivais que pour ça, je voulais en profiter car je savais quaprès mon mariage tout sarrêterait car nous avions prévu de fonder une famille avec au moins deux s.
Me voyant friande à ce point, William toujours à lécoute de mes désirs, me demanda ce que je désirais encore vivre avant le jour J. Sans hésiter un seul instant, je lui expliquai que jaimerais quil me baise dans un lieu public. Lors de ma visite au sexshop, javais remarqué quil y avait une salle de projection de films porno et je lui dis : « Comme au cinéma par exemple. » William membrassa tendrement et me promis de réaliser mon vu et demanda à Gédéon dorganiser ça.
Celui-ci invita quatre de ses meilleurs amis pour une partie de baise puis sétait arrangé avec Mohamed pour organiser une séance dans sa salle de cinéma le lundi, le soir le plus calme de la semaine et avait réservé les deux premières rangées devant lécran. Afin que je me retrouve dans des conditions optimales, il était convenu que le gérant remplisse au moins la salle au trois-quarts. Il ne voulait que des figurants hommes et femmes, ne se positionnant quen voyeurs. Pour loccasion, William mavait conseillé de porter les sous-vêtements et la petite mini robe transparente achetés au sexshop.
La soirée étant fraiche, javais un manteau en fourrure quil me fit enlever au moment où je pénétrais dans la salle de projection.
Lécran était encore noir et toutes les lumières éclairaient la salle, dans cette tenue bien plus que sexy, de très nombreux regards se portèrent sur moi, jen étais ravie. Gédéon et William se placèrent au premier rang sur les sièges de la partie extérieure après que ce dernier mait installée sur le fauteuil central devant lécran entre deux hommes et devant deux autres. Je fus quelques peu déçu de connaitre mes quatre partenaires, jaurais préféré quatre inconnus mais cette organisation sétait passé si vite que je nen voulais pas à Gédéon davoir choisi ces quatre septuagénaires que javais déjà rencontré une fois ou deux lors de parties libertines : Serge, René, Alain et Didier un ami à mon chéri.
Une fois installée confortablement sur mon fauteuil Mohamed fit un signe au projectionniste qui coupa les lumières et le film débuta. Lespace fut plongé dans la pénombre, seuls le faisceau lumineux de projection donnait un éclairage indirect, principalement sur le premier rang où je me trouvais. Sur lécran, une femme nue à genou suçait déjà un homme pendant quun autre lui caressait le minou mais mon attention ne fut pas portée à lécran, jétais venue ici pour autre chose. René et Serge placé derrière moi avaient chacun, un de mes seins dans les mains quils massaient, malaxaient et soupesaient, pendant quà côté de moi, les mains et les doigts dAlain et de Didier prenaient possession de ma chatte qui commençait fortement à mouiller et de mon anus pour un double doigtage.
Les râles et gémissements de la blonde à lécran, couvraient les miens, ces quatre mains me donnaient incontestablement du plaisir. Très vite mes sous-vêtements disparurent, il ne me restait plus que ma mini robe qui ne me couvrait à peine. Javais écarté un peu plus mes cuisses pour faciliter la main dAlain de rentrer en action. Pendant ce merveilleux fist, des doigts me trituraient les tétons et deux de Didier perforaient mon anus. Jétais dans un délire total, je me cambrais vers larrière, jhaletais puis au moment où jatteins mon premier orgasme, je poussai de petite cris qui ne passèrent pas inaperçus.
Je constatai avec joie que les places inoccupées des deux premières rangées avaient trouvé preneurs. Il semblait que le spectacle que joffrais était plus important pour eux que le film qui passait à lécran. Je métais agenouillée sur mon siège, je suçais la petite queue de Serge afin de laisser tout le loisir à mes deux voisins de poursuivre leurs doigtages qui me faisais mouiller de plus belle, des filets de cyprine coulaient le long de mes jambes. Le sexe très raide de René avait pris la place de Serge qui venait de se vider dans ma bouche, je mattelais à le faire éjaculer à son tour. Comme me lavait demandé Gédéon, je ne devais faire à ses amis que des fellations et masturbations. Cétait la raison pour laquelle, mes deux mains branlaient énergiquement les deux bites dAlain et de Didier.
Javais une nouvelle fois réussi ma mission, mes doigts étaient tous recouvertes de sperme et ma bouche reçut la semence de René. Les quatre septuagénaires éjaculèrent mais continuaient leur pelotage et leur doigtage, jusquà mon deuxième orgasme. Je me retournai et minstallai normalement sur mon fauteuil, satisfaite de leur avoir donné du plaisir. Je nétais pas pour autant, tout à fait comblée, jattendais que mes petits vieux récupèrent en regardant la fin du film, tout en observant ces voyeurs se branler également.
Après ma seconde jouissance, je fus étonnée de ne pas avoir eu la petite surprise que Gédéon mavait promise. Je le regardais régulièrement, je pensais quil allait venir me prendre devant tout ce public, une bonne trentaine de spectateurs étaient présents à cette séance qui ne tarderait pas à se terminer. Cependant, celui-ci restait stoïque assis confortablement dans son fauteuil aux côtés de William. Cest alors que japerçus Mohamed descendre lallée aux côtés de deux jeunes maghrébins. Il me montra du doigt et repartit après mavoir fait un sourire. Mon sang ne fit quun tour, lorsque je vis ces deux types venir vers moi lair menaçant. Immédiatement javais pensé quils venaient me punir pour mêtre donnée en spectacle en public.
Je compris en apercevant William me faire un signe que cétait là, ma surprise. Ils me tirèrent de mon siège, déchirèrent le seul petit vêtement qui me restait et me jetèrent à terre. Le film étant terminé, la lumière éclaira la salle, mais le spectacle nétait pas fini pour autant, pour celles ou ceux qui désiraient voir une scène de sexe sauvage en direct :
Mesdames Messieurs ! Cria Gédéon. Joffre Sarah à ces deux jeunes gens. Vous pouvez donc rester et en profiter.
Puis il enchaina en sadressant directement aux deux magrébins :
Baisez-la, faites-en votre jouet, elle est venue pour ça. Leur dit-il en leur tendant des préservatifs.
Assise nue devant lécran, je remarquai que personne navait quitté la salle, toutes et tous sétaient agglutinées debout dans les allées et derrière la première rangée de sièges, afin dêtre au plus près pour assister à la scène qui allait suivre. Les deux jeunes enlevèrent leur pantalon et leur boxer, laissant à ma vue leur bite, assez longue mais fine pour le premier et une un peu plus large et légèrement recourbée pour le second. Rachid me plaça à quatre pattes et mit sa queue dans ma bouche pendant quil me massait la tête. Saïd quant à lui avait pris possession de ma chatte mouillée avec ses gros doigts. Dêtre ainsi à la merci de ces deux types, mavait mise dans tous mes états.
Saïd me pistonnait de ses deux doigts à toute vitesse tout en excitant mon clitoris. Après quelques minutes à ce rythme, il ne mavait pas fallu longtemps avant que je parvienne à atteindre un orgasme, en lâchant une quantité de jouissance quittant ma chatte, en longs traits avant datterrir sur la moquette du cinéma. Bandant suffisamment, Rachid retira sa queue pour laisser la place à son copain disant : « Allez salope ! Fais-moi une pipe maintenant. » Il mavait fait minstaller devant lui, debout pliée en deux, les fesses en arrière et pendant que je le suçais il dit à Rachid :
Baise cette sale pute. Défonce-lui le cul avant que je lencule, prépare-moi le passage.
Sous les coups de reins sauvages des deux maghrébins qui avaient coordonné leurs mouvements à la perfection. Je métais laissé baiser par les deux trous pendant un très long moment. Possédée par ses deux lascars qui faisaient de moi leur chose en changeant régulièrement de place et de positions incongrues, je ne contrôlais plus rien et jadorais ça. Javais joui longuement, comme si une décharge électrique me parcourait tout le corps, de la tête aux pieds. Lorsque je pris mon orgasme en criant mon plaisir, je coulais une nouvelle fois comme une fontaine, ce qui les avaient fait se retirer. Ils sétaient présentés devant moi, leurs queues bandantes devant mon visage et en se branlant et ils explosèrent leur foutre sur mon visage.
Comme au sexshop, il avait fallu quun des voyeurs vienne éjaculer sur moi pour quune bonne quinzaine de types viennent comme eux se masturber et éjaculer sur mon corps. Javais reçu une pluie, un orage de sperme sur moi, jétais trempée, souillée mais ça mavait énormément plu.
William mapporta un peignoir éponge, puis après mavoir essuyé avec, me fit une bise en me disant : « Je taime Sarah, cest fini maintenant. » Pour aller prendre une douche, accompagnée de mon chéri, je traversai la salle à son bras, jétais très fière car les quelques spectateurs encore présents, me félicitaient à notre passage.
Quel étonnement pour moi, je savais que tout avait une fin mais si près du mariage, je mapercevais que je regretterais toutes ses parties de sexe que je ne connaitrai plus. Je savais que jétais bien trop accroc au sexe de Gédéon pour ne pas continuer en cachette, mon amant me lavait promis. Jétais devenue sa soumise et je ne pouvais plus men passer, quelque chose me disait, au plus profond de mon être, que je ne devais pas interrompre la relation que jentretenais avec ce jeune africain. Cependant je ne savais plus comment faire, ma conscience me disait de tout arrêter comme le suggérait mon chéri. Jaimais William dun amour profond, javais envie de partager ma vie avec lui et davoir des s.
Avant de ressortir du sexshop, Nabil le fils du gérant profita que Gédéon soit en grande discussion au comptoir, avec son père Mohamed, afin de venir à notre rencontre discrètement et nous dit, en sadressant à mon homme : « Je suis heureux de vous rencontrer Mr Fischer. Il faut que je vous parle, cest très urgent. » Intrigué, mon chéri lui demanda de nous dévoiler ce quil y avait de si important à lui dire. Cependant celui-ci nous répondit quil ne le pouvait pas ici car cela concernait notre chauffeur : « Venez ! Allons dans le bureau de mon père. » Surpris de me voir pâlir, William me regarda, me pris la main et nous avions suivi le fils du gérant.
William fut sidéré dentendre Nabil rapporter les faits, Gédéon navait pas lintention de me laisser tranquille. Il avait prévu avant le mariage, de me séquestrer afin de faire de moi sa propriété en continuant à moffrir à un clan africain où je passerais mon temps à me faire baiser dans des caves, ou faire des pipes sur les parkings, faire la pute dans des sexshop de la région et toutes sortes de soirées bizarres. Il désirait me soumettre, en minitiant à la domination jusquà ce que je sois entièrement dépendante de lui : « Si vous ne me croyez pas, demandez à Sarah. » finit-il par dire, puis en me regardant droit dans les yeux il poursuivit : « Avoue-lui tout avant quil ne soit trop tard. »
Dis-moi chérie ! Tu étais au courant de quelque chose ?
Jétais écurée, jamais je naurais pensé à cela, cétait bien réel, je laurais suivi dans ses délires mais pas à ce point, les choses allaient trop loin, jamais je navais eu lintention de me séparer de mon chéri. Je ne voulais pas mentir à William, surtout après avoir entendu Nabil qui était un très bon ami à moi (Mon jardin secret). La conversation prit fin, Gédéon était venu nous chercher en disant que la voiture était prête. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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